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"Il n'y a pas de petites arènes" mais la feria de Nîmes reste quand même un évènement tauromachique majeur. Pour les aficionados, toreros, éleveurs... et nous monosabios c'est un rendez-vous incontournable !

Pour chaque corrida, Philippe Heyral, vérifie comme un rituel de maestro ses habillements. Pas ses chemises, mais les caparaçons, manguitos, brides, cagoules, et tous les petits détails qui pour lui n'en sont pas.

Oui, j’ai porté la chemise rouge des monosabios. 

jyOui, j’ai été monosabio. Une fois. Et j’en suis fier.
Oui, j’ai fait le paseo à Nîmes. Une fois. Et je m’en souviens.
Ce fut à l’occasion d’une corrida extraordinaire, le 17 septembre 2007.
Les arènes de Nîmes sont archicombles pour accueillir José Tomas, Denis Loré marqué par le deuil de son papa décédé l’avant-veille et qui effectuait, là, l’ultime paseo de sa carrière, et Joselito Adame tout auréolé de son alternative vieille de huit jours.

Alain-lartigueJ'ai connu Loulou Heyral en 1989, lorsque j'ai débuté dans le métier d'entrepreneur de tauromachie. Un personnage attachant, au fort caractère, entier, grand professionnel et un homme au grand coeur.

Puis j'ai connu Philippe, qui, de son père a, à mon avis, la forte personnalité, la détermination et le professionalisme. Mais, nous vivons une autre époque et Philipe a compris qu'il fallait évoluer, s'adapter, et il l'a fait.